Electrique au nucléaire ou au vent, au gaz de schiste ou encore au mazout peu importe la motorisation de véhicules qu’il s’agit de faire disparaître progressivement pour sortir du système automobile qui dissout l’urbanité, à moins de reconnaître cette qualité à la foultitude de ronds points, bermes et no mans lands que le dit système engendre : des chercheurs géographes* sont assez gonflés et pervers pour ça…
*par exemple voir l’article récent d’Antoine Brès et Martin Vanier « ADHÉRENCE DES RÉSEAUX DE CIRCULATION AU « TIERS-ESPACE» DES RÉGIONS URBAINES: LES FIGURES D’UNE RIVERAINETÉ DE BORD DE ROUTE » in Métropolis | Flux 2014/1 – N° 95 pages 56 à 64